« Ce ne sont pas les évènements qui déterminent comment tu te sens, mais ta perception des évènements, le sens que tu leurs donnes et ce que tu en fais. »
Y’a pas longtemps j’ai eu la chance de participer à un séminaire de David Laroche. Je sais pas si tu connais, personnellement je le connaissais juste de nom et je le considérais comme une version française et moins bien de Toni Robbins… Et bien crois-moi ce n’est plus ce que je pense. J’ai pris une belle leçon d’humilité et de « ne juge pas avant d’avoir vu ».
J’aimerais te faire passer durant les prochains jours les concepts les plus importants que j’ai compris pendant ce week end…
Et la phrase tout en haut en est un. J’avais beau le « savoir » déjà, je ne le vivais pas. Du moins pas tout le temps.
Si parfois tu as tendance à penser trop au passé et ressentir des émotions de peur, tristesse, culpabilité ou honte, alors c’est que ta perception des évènements et le sens que tu leurs donnes ne joue pas en ta faveur.
Dans le livre « man’s search for meaning », Victor Frankl qui fut longtemps prisonnier dans un camp Nazi nous dit que la dernière des libertés de l’homme, celle qui nous reste quand on nous a déjà tout pris, c’est celle de choisir le sens que l’on veut donner à ce qui nous arrive.
Attention, je ne parle pas là de « pensée positive » ou de méthode Coué, mais belle et bien d’avoir conscience que c’est TOI qui décide comment tu te sens, et pas ce qui t’arrive.
Par exemple, tu peux choisir de voir un cancer comme la pire chose du monde et te placer en victime (si tu as un cancer, reste avec moi jusqu’au bout de ce billet stp) en te disant que c’est pas juste (je ne dis pas que ça l’est), ou tu peux choisir de voir cela comme un signal, un symptôme que la vie t’envoie pour que tu changes des choses et que tu deviennes la meilleure version de toi même, en terme de santé, d’alignement avec qui te veux vraiment être, ou tout simplement de réaliser qu’il faut profiter de chaque instant. Je ne dis pas qu’avoir un cancer, c’est bien et que je le souhaite à qui que ce soit. Je veux juste dire que si tu en as un, la dernière des libertés dont personne ne pourra (même pas ce cancer) te priver, c’est celle de choisir le sens que tu donnes à ce qui t’arrive et ce que tu veux en faire.
Etre en surpoids ou même obèse est peut être la meilleur qui puissent t’arriver pour que tu atteignes le point de non retour, le moment ou tu te dis, « j’en ai assez, plus jamais ». Le moment ou tu vas décider que tu feras tout ce qui est nécessaire pour ne plus jamais revivre ça et qui te donnera la force de ne plus craquer dans l’avenir. Ou alors tu peux choisir de voir ça comme quelque chose d’injuste contre lequel tu ne peux rien… quelle version est selon toi la plus utile?
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